Dans son approche plastique, Jean Claude Garcin, fixe le provisoire et l’éphémère. La craquelure et la fissure, la trace et l’empreinte deviennent les éléments graphiques de la composition.
A travers la photographie, il « re-dessine » les entrelacs naturels. La grille, en tant qu’élément fondamental, est renvoyées à ses origines probables. Si l’écriture est née de l’observation du monde, de sa traduction en signe, alors il s’agit bien d’un retour aux sources.
La trame qui se définit et se décline dans notre société : comme une structure de base, aussi nécessaire en science que dans les autres domaines, est questionnée.
Jean Claude Garcin en donne une vision plus sensible, plus esthétique. Une trame qui n’est pas à l’épreuve du temps, mais qui au contraire témoigne de son passage. Une trame dégagée de toute influence et de toute utilité. Une trame rendue à elle-même.
REFES Ahmed.