« Le regard est un choix, celui qui regarde décide de se fixer sur telle chose et donc forcement d’exclure de son attention le reste de son champ de vision. C’est en quoi le regard, qui est l’essence de la vie, est d’abord un refus. »
(Amelie Nothomb)
Le cadre: champ de vision, frontières, limites, autorités(lois), évanescence de toutes réflexions, raisonnements, théories.
Cela pose la question de la représentation du monde, de l’univers.
L’infini limite de notre conscience?
Les cubistes cherchaient à représenter plusieurs faces sur un même plan, sculpture en deux dimensions, sortir du cadre…le cadre châssis de fenêtre ou de peinture, optiques détermine un format qui permet de s’immerger, de se projeter ailleurs le temps d’un instant.
La transmission du patrimoine génétique, de la culture, du savoir, offre le lien de notre évolution. L’homme a un début et une fin, l’exacte complémentarité de l’infini.La vie, logique implacable à notre échelle, cadre qui définit notre connaissance, régi par le temps (unité de transformation).
Eternel recommencement, éternel renoncement?
L’univers un cadre à conquérir…